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C’est avec une grande fierté que l’Orchestre symphonique de Montréal dévoile aujourd’hui sa programmation 2025-2026. Alors que Rafael Payare entame sa 4e saison comme directeur musical, cette 92e saison de l’OSM portée par la musique, l’émotion et la passion propose une programmation riche et variée, pour tous les goûts et pour tous les budgets. Plusieurs artistes de renom d’ici et d’ailleurs se joindront à l’OSM pour une expérience musicale où des retours attendus côtoient une diversité unique des genres. Cette saison, lors des grands concerts classiques, des Apéros symphoniques, des ciné-concerts, des concerts éclatés, des concerts POP, des concerts pour la jeunesse, découvrez ou redécouvrez des œuvres de Mozart, Brahms, Moussa, Stravinsky, Gougeon, Chostakovitch et bien entendu Mahler, avec des invités deprestiges tels que Barbara Hannigan, Emanuel Ax, Véronique Gens, Joseph Tawadros et James Ehnes.

Avec des thématiques variées et la présence d’artistes renommés, émergents ou issus de différentes cultures, la saison 2025-2026 ouvre une fenêtre sur le monde. S’inscrivant dans la continuité du parcours artistique amorcé depuis mon arrivée à l’OSM, cette programmation allie grands classiques et découvertes. La mission éducative de l’OSM acquiert aussi une nouvelle dimension avec le Programme El Sistema OSM, inspiré par mon propre parcours et visant à offrir aux jeunes une formation musicale épanouissante à travers la pratique collective. Cette saison saura parfaitement incarner la joie de jouer ensemble et de partager une musique vivante. — Rafael Payare, directeur musical de l’OSM

Après avoir enflammé les publics en Europe comme à la Maison symphonique avec la Symphonie fantastique d’Hector Berlioz, l’OSM et Rafael Payare ouvrent la saison 25-26 en grand avec La damnation de Faust du même compositeur, un drame lyrique captivant et empreint d’émotion.

En octobre et en février, Payare poursuivra le cycle Mahler entamé en 2022 en présentant d’abord la Symphonie no 9, puis la Symphonie no 4. Le cycle Chostakovitch se poursuit aussi alors que l’Orchestre, sous la direction de Rafael Payare, interprétera la Symphonie no 7 « Leningrad » en avril 2026 dans un programme où elle sera précédée par la Symphonie no 8 de Beethoven. Toujours sous la baguette de Payare, l’OSM jouera le 22 avril Le sacre du printemps de Stravinsky ainsi qu’une création mondiale commandée par l’OSM à Denis Gougeon, alors que Bruce Liu interprétera le Concerto pour piano no 1 de Tchaïkovski.

En décembre, Rafael Payare accueillera l’éblouissante violoniste néerlandaise Simone Lamsma dans le Concerto pour violon en ré majeur de Korngold suivi du Concerto pour orchestre de Bartók. En janvier, c’est Emanuel Ax qui sera l’invité de l’OSM et de Payare pour interpréter le Concerto pour piano no 3 de Beethoven. Ce concert mettra aussi à l’honneur une création mondiale commandée à la compositrice britannico-canadienne Isabella Gellis et la Symphonie no 5 de Prokofiev. En mars, Rafael Payare et l’OSM poursuivront le cycle des opéras de Mozart avec livrets de Lorenzo Da Ponte en présentant Les noces de Figaro. Pour clore la saison, en mai 2026, Rafael Payare dirigera le Ring sans paroles de Wagner, précédé du Concerto pour piano en la mineur de Schumann interprété par le légendaire Yefim Bronfman.

Découvrir toute la saison.

Ce printemps, Rafael Payare revient au Royal Opera House de Londres pour diriger Sondra Radvanovsky dans le rôle-titre de Turandot de Puccini (du 19 mars au 4 avril). La distribution comprend également SeokJong Baek dans le rôle de Calaf, Anna Princeva et Gemma Summerfield dans celui de Liù, et Adam Palka dans celui de Timur.

Après les débuts de Payare, en 2023, au Royal Opera House à la direction du Barbier de Séville de Rossini, la critique a écrit : « C’était léger, aérien, avec des pointes d’enthousiasme, rythmé à la perfection, et l’ouverture a été suivie de la plus grande ovation dont je puis me souvenir — et à juste titre, car elle a planté le décor d’une soirée d’opéra-bouffe qui n’a jamais faibli. » (Bachtrack) et : « (…) la lecture enjouée et rapide de Payare est pleine d’ombre et de lumière, avec des rythmes souples et vifs, aussi croustillants qu’une laitue iceberg. » (The Guardian)

Pour plus de détails et pour vous procurer des billets, cliquez ici.

L’Orchestre symphonique de San Diego (SDS) et son directeur musical Rafael Payare ont annoncé la programmation détaillée de la saison 2025-2026 du Jacobs Music Center. Ce sera la deuxième saison dans la nouvelle maison de l’orchestre, un théâtre vieux de près de 100 ans qui a subi une rénovation complète avant de rouvrir en 2024 avec une acoustique supérieure, une esthétique magnifique et un large éventail d’œuvres qui démontrent la polyvalence du lieu.

La saison 2025-2026 du Jacobs Music Center propose 21 programmes dans le cadre de la série Jacobs Masterworks, dont huit œuvres inédites au SDS, 11 concertos, 19 symphonies, un festival Brahms de deux semaines, des compositions appréciées du public et d’autres rarement entendues. En outre, en passionné malhérien qu’il est, Payare a programmé deux réalisations du compositeur.

La saison s’ouvrira avec Payare à la tête de l’orchestre, des solistes vocaux et d’un chœur d’enfants dans une série d’œuvres françaises qui comprend l’opéra en un acte de Maurice Ravel L’Enfant et les sortilèges, mis en scène par le célèbre compositeur et metteur en scène britannique Gerard McBurney, la musique du ballet La Boîte à joujoux de Claude Debussy et sa réinterprétation d’un voyage amoureux sur le lieu de naissance d’Aphrodite, L’Isle joyeuse (3 et 5 octobre).

Payare dirigera ensuite España, rhapsodie pour orchestre du français Emmanuel Chabrier, et le concerto pour piano et orchestre Ephemerae du Péruvien Jimmy López. Cette œuvre marque le début des deux années de résidence de López au SDS. La Symphonie no 2 de Robert Schumann complètera le programme (11-12 octobre).

En novembre, l’orchestre interprètera un choix de chants populaires allemands de Gustav Mahler, Le Cor enchanté de l’enfant, avec le baryton Matthias Goerne, et la Symphonie no 4 « Romantique » d’Anton Bruckner (7 et 8 novembre). À l’affiche du concert suivant, l’ouverture Les Hébrides de Mendelssohn, le Concerto pour violon de Sibelius, avec comme soliste Augustin Hadelich, et la Symphonie no 9 de Schubert (14-15 novembre). Les deux programmes seront dirigés par Payare.

Pour la nouvelle année, Payare dirigera deux symphonies en un seul concert, la Symphonie no 1 de Beethoven et la Symphonie no 8 de Chostakovitch (24 et 25 janvier). Dans le programme suivant, il dirigera la Symphonie no 7 de Mahler (31 janvier et 1er février).

Fin février et début mars, le SDS entamera les deux semaines de son Festival Brahms, qui comprendra certaines des œuvres les plus emblématiques du compositeur, présentées lors de quatre concerts dirigés par Payare. On entendra le Requiem allemand, avec les solistes Julie Boulianne et Michael Sumuel et le Chœur symphonique de San Diego (27 février et 1er mars), les Symphonies no 1 et no 2 (28 février), le Concerto pour violon, avec Leonidas Kavakos, et la Symphonie no 4 (6 mars), puis la Symphonie no 3 et une reprise du Concerto pour violon (7 mars).

Rafael Payare reviendra en mai pour diriger les trois derniers concerts de la série Masterworks, en commençant par le nouveau concerto pour violoncelle de la compositrice Gabriela Ortiz, Dzonot, écrit pour Alisa Weilerstein qui l’interprétera, suivi du poème symphonique de Richard Strauss, Une Vie de héros (9-10 mai). Le programme des 15 et 16 mai comprendra Peru Negro, composé par le nouveau compositeur en résidence au SDS, Jimmy López, le Concerto pour violon d’Alban Berg, avec Jeff Thayer, violon solo du SDS, et la Symphonie no 3 « Écossaise » de Mendelssohn. Le dernier concert propose deux chefs-d’œuvre de la fin de la période romantique : Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss, inspiré du poème de Nietzsche, et le drame en un acte Le Château de Barbe-Bleue de Bela Bartók, avec la mezzo-soprano Karen Cargill et une voix de basse à être annoncée (22 et 24 mai).

Pour plus de détails, visitez sandiegosymphony.org.

Cet hiver et ce printemps Rafael Payare complète sa saison avec le SDS au Jacobs Music Center en se concentrant sur la poursuite du cycle complet des symphonies de Chostakovitch et de Mahler et des poèmes symphoniques de Richard Strauss. Alexander Malofeev, étoile montante du piano, s’est joint à l’orchestre pour interpréter l’exigeant Concerto pour piano no 3 de Prokofiev. Ce concert s’ouvrait par la création du Concerto pour orchestre du compositeur Billy Childs, né à Los Angeles et lauréat d’un Grammy, suivie par la Symphonie no 3 « Eroica » de Beethoven (31 janvier et 1er février). Peu après, Payare a dirigé le poème symphonique Mort et transfiguration de Strauss, ainsi que la Deuxième symphonie de Brahms et le Concerto pour alto de William Walton, interprété par Chi-Yuan Chen, alto solo du SDS (8 et 9 février).

Trois autres séries de représentations complètent la saison de Payare avec le SDS. Son épouse, la célèbre violoncelliste Alisa Weilerstein, se joint à lui pour interpréter le Concerto pour violoncelle d’Unsuk Chin. Le programme comprend également la Septième symphonie de Bruckner (10 et 11 mai). Ensuite, le pianiste Jean-Yves Thibaudet interprète le Concerto pour piano no 5 « L’Égyptien » de Camille Saint-Saëns. La Symphonie no 7 « Leningrad » de Chostakovitch complète le programme (16 et 17 mai). Pour clore la saison, Payare dirige le SDS et la mezzo-soprano Karen Cargill dans la Symphonie no 3 en mineur de Mahler, une ode étendue à la nature, à l’humanité et à la splendeur du cosmos, qui demeure la plus longue symphonie du répertoire standard (23-25 mai).

Payare retrouve l’OSM pour les concerts d’hiver et de printemps. Payare et l’OSM viennent de sortir leur dernier album sur étiquette Pentatone, un enregistrement de Pelléas et Mélisande et de La Nuit transfigurée de Schönberg. Payare a entrepris le cycle complet des symphonies de Chostakovitch et de Mahler et des poèmes symphoniques de Richard Strauss avec l’OSM comme avec le SDS. Il a déjà enregistré certaines de ces œuvres avec l’OSM.

À l’hiver et au printemps, maestro Payare a invité la violoncelliste Alisa Weilerstein dans la Symphonie concertante de Prokofiev (12 et 13 février). Pour ses débuts avec l’OSM, le violoniste Sergey Khachatryan a interprété le Concerto pour violon en de Tchaïkovski, dans un concert qui comprenait la Symphonie no 11 de Chostakovitch « L’année 1905 » (19 février 2007). Payare a collaboré avec le pianiste Marc-André Hamelin dans Rhapsody in Blue de Gershwin, œuvre à laquelle s’ajoutaient des musiques aux accents jazz de George Antheil, John Harbison et David Schiff (22 février). Il a dirigé la Sixième symphonie « Tragique » de Mahler et Cinq Lieder d’Alma Mahler, interprétés par la mezzo-soprano Beth Taylor (16, 17, 18 janvier).

Au printemps, un festival Mozart marque le début d’un cycle pluriannuel des trois opéras du compositeur sur des livrets de Lorenzo Da Ponte. On entendra le Requiem (16, 17, 18 avril) et Così fan tutte dans une version concert (23, 25 avril) et la « Symphonie Jupiter », jumelée au Concerto pour piano no 27 avec Kevin Chen (24 avril). La saison de l’orchestre se termine par une œuvre pour voix et orchestre chantée dans des langues autochtones, composée et écrite dans le but de protéger les langues en voie de disparition en les immortalisant par la musique d’Ana Sokolović et du compositeur métis Ian Cusson. Le programme est complété par Le Chant de la Terre de Mahler (28-30 mai).